Catherine de Suède aussi nommée Catherine de Vadstena - 1322-1381 était la fille de Sainte Brigitte de Suède Veuve, fondatrice de l'ordre du Saint-Sauveur (✝ 1373).
Catherine appartenait à la famille royale de Suède.
Sa mère était Sainte Brigitte de Suède et son père Ulf Gudmarson. Ils eurent huit enfants.
Elle fut élevée dans un couvent jusqu’à son mariage avec Edgar Lydersson, invalide, qu’elle soigna avec dévouement.
En 1350, elle rejoignit sa mère à Rome où celle-ci s'était établie depuis qu’elle était veuve. C’est lors de ce voyage qu’elle apprit la mort d’Edgar, son mari. Elle décide alors de rester elle aussi à Rome jusqu’à la mort de sa mère.
Toutes deux visitèrent longuement les églises et les tombeaux des martyrs, et s’adonnèrent à de longs exercices de mortification. Elles allaient aussi soigner les malades des hôpitaux, et vivaient dans la pauvreté et l’austérité.
Elle revint ensuite en Suède pour ensevelir la dépouille de sa mère au couvent de Vadstena dont elle va devenir abbesse.
Catherine reviendra à Rome, pour la reconnaissance papale de l’ordre de Sainte-Brigitte et pour la canonisation de sa mère, qui n’aura lieu qu'en 1384.
Elle a écrit un livre de dévotion, intitulé Consolation de l'âme (en suédois médiéval Siælinna tröst, ou Själens tröst en suédois moderne) dont un exemplaire daté de 1407 existe toujours.
Elle fut élevée dans un couvent jusqu’à son mariage avec Edgar Lydersson, invalide, qu’elle soigna avec dévouement.
En 1350, elle rejoignit sa mère à Rome où celle-ci s'était établie depuis qu’elle était veuve. C’est lors de ce voyage qu’elle apprit la mort d’Edgar, son mari. Elle décide alors de rester elle aussi à Rome jusqu’à la mort de sa mère.
Toutes deux visitèrent longuement les églises et les tombeaux des martyrs, et s’adonnèrent à de longs exercices de mortification. Elles allaient aussi soigner les malades des hôpitaux, et vivaient dans la pauvreté et l’austérité.
Elle revint ensuite en Suède pour ensevelir la dépouille de sa mère au couvent de Vadstena dont elle va devenir abbesse.
Catherine reviendra à Rome, pour la reconnaissance papale de l’ordre de Sainte-Brigitte et pour la canonisation de sa mère, qui n’aura lieu qu'en 1384.
Elle a écrit un livre de dévotion, intitulé Consolation de l'âme (en suédois médiéval Siælinna tröst, ou Själens tröst en suédois moderne) dont un exemplaire daté de 1407 existe toujours.
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