jeudi 5 juillet 2012

Evangile du Vendredi 06 Juillet 2012;

Saint Matthieu 9. 9 - 13

Mt 9:9- Étant sorti, Jésus vit, en passant, un homme assis au bureau de la douane, appelé Matthieu, et il lui dit : " Suis-moi ! " Et, se levant, il le suivit. 



Mt 9:10- Comme il était à table dans la maison, voici que beaucoup de publicains et de pécheurs vinrent se mettre à table avec Jésus et ses disciples. 
Mt 9:11- Ce qu'ayant vu, les Pharisiens disaient à ses disciples : " Pourquoi votre maître mange-t-il avec les publicains et les pécheurs ? " 
Mt 9:12- Mais lui, qui avait entendu, dit : " Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades. 
Mt 9:13- Allez donc apprendre ce que signifie : C'est la miséricorde que je veux, et non le sacrifice. En effet, je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs. "
Partager le repas avec la plus grande paroisse du monde


Jésus choisit Matthieu, l’impur, le collecteur d’impôt, celui qui travaille pour l’occupant, celui qui s’enrichit grâce à l’ennemi.

Mathhieu est un publicain au service de l'envahisseur, c'est un homme qui s'enrichit car un publicain était parfois un petit tyran un véritable collaborateur lire la suite ...............

Mais qui est ce Matthieu, celui qui au delà des mots et des phrases et du regard des hommes qui l’entourent: Mathhieu est un enfant de Dieu


Jésus rencontre les pécheurs, Jésus va vers ceux qui on soif d’être ce qu’il sont dans le plus profond de leur cœur.

Partager avec la multitude des rejetés du monde, là est le grand enseignement de Jésus, partager non seulement un morceau de pain ou un café mais partager l’amitié, le regard sans équivoque, l’amour au temps présent

Ö quelle joie et fierté peuvent ressentir les publicains, ces pécheurs d’être assis à la même table que celui qui est au dessus de tous.

Ö quel rancœur peuvent avoir Scribes et Pharisiens de voir attablé ensemble celui qui enseigne la vérité de l’amour et les pécheurs, les impurs, ennemis d’Israël.

Le monde se renverse les pécheurs reconnaissent en Jésus l’homme qu’il faut écouter, les Scribes cultivent le rejet de l’amour.

En ce temps de vacances, tournons nous vers la plus grande paroisse du monde, les exclus, les rejetés, ceux qui ont soif d’être attablé au festin de l’amitié de la compréhension et du véritable amour: Celui né par la VOIX de Jésus

Joie, paix et amour sans distinction, nous devons apporter ce que Jésus nous a donné non pas en héritage à partager mais en simple don pour la plénitude de toute l’humanité

Réveillons nous pour aller à la rencontre de la plus grande paroisse du monde : celle des exclus du monde.


Les Impies

Incroyant , blasphématoire , qui a du mépris  pour les choses de la religion.
D'après ce point de vue, chassant, comme frivole et même comme impie, cette idée, que la force tangentielle a pu être communiquée directement aux planètes par le doigt de Dieu je considère cette force comme naissant de la rotation des astres sous un vocabulaire extremement varié tant en Hébreu tant en Grècque, les enseignements de la bible décrivent une attittude spirituelle qui est contraire à la piété de Dieu et de sa loi, à ceci j'ajoute une forte nuance d'hostilité et une veritable bravade
  • Une bravade est: Action, parole, geste, manière par laquelle on brave quelqu’un. Vous les avez vus, vous les voyez quotidiennement, en guise de bravade contre l'application de la loi des associations aux ordres religieux, ouvrir avec fracas les chaires de nos églises aux membres des congrégations dissoutes, qui n'ont jamais eu le droit d'y monter. — (Discours d'Émile Combes à Auxerre, 4 septembre 1904) 
  • Emile Combes un douteux personnage de la Franc Maconnerie impliqué dans l'affaire des fiches



L'affaire des fiches (parfois appelée « affaire des casseroles ») concerne une opération de fichage politique et religieux dans l'armée française au début du XXe siècle. Elle fut réalisée par des loges maçonniques du Grand Orient de France à l'initiative du général André, ministre de la Guerre.
  • (Par extension) (Péjoratif) Feinte bravoure. Votre cartel recevrait une prompte réponse, dit le pèlerin, si votre antagoniste était là ; mais, la chose étant comme elle est, ne troublez pas la paix de cette salle avec des bravades sur l’issue d’un combat qui, vous le savez bien, ne peut avoir lieu. — (Walter Scott, Ivanhoé, Traduction de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)

Saint Paul annonce le venue de "l'homme de l'impiété"qui par excellence aux derniers temps "s'élévera au dessus de tout et se produira  lui-même comme Dieu




2Tm 3:3- sans cœur, sans pitié, médisants, intempérants, intraitables, ennemis du bien, 
2Tm 3:4- délateurs, effrontés, aveuglés par l'orgueil, plus amis de la volupté que de Dieu, 
2Tm 3:5- ayant les apparences de la piété mais reniant ce qui en est la force. Ceux-là aussi, évite-les. 
2Tm 3:6- Ils sont bien du nombre, ceux qui s'introduisent dans les maisons et envoûtent des femmelettes chargées de péchés, entraînées par toutes sortes de passions et qui, 
2Tm 3:7- toujours à s'instruire, ne sont jamais capables de parvenir à la connaissance de la vérité. 
2Tm 3:8- A l'exemple de Jannès et de Jambrès qui se dressèrent contre Moïse, ils se dressent, eux aussi, contre la vérité, hommes à l'esprit corrompu, sans garantie en matière de foi.
Saint Paul annonce la venue de "l'homme d'impiété" par excellencequi aux deriers tempss'élévera au-essus de tout et se produira lui-même comme Dieu

et il ajoute que le mystère de l'impiété est déjà
et il ajoute que le mystère
De ce fait, il est à l'oeuvre depuis le commencementdans du monde
Gn 3:5- Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront et vous serez comme des dieux, qui connaissent le bien et le mal. 
Gn 3:6- La femme vit que l'arbre était bon à manger et séduisant à voir, et qu'il était, cet arbre, désirable pour acquérir le discernement. Elle prit de son fruit et mangea. Elle en donna aussi à son mari, qui était avec elle, et il mangea. 
Gn 3:7- Alors leurs yeux à tous deux s'ouvrirent et ils connurent qu'ils étaient nus; il cousirent des feuilles de figuier et se firent des pagnes.
Gn 3:8- Ils entendirent le pas de Yahvé Dieu qui se promenait dans le jardin à la brise du jour, et l'homme et sa femme se cachèrent devant Yahvé Dieu parmi les arbres du jardin. 
Gn 3:9- Yahvé Dieu appela l'homme : Où es-tu ? dit-il. 
Gn 3:10- J'ai entendu ton pas dans le jardin, répondit l'homme; j'ai eu peur parce que je suis nu et je me suis caché. 
Gn 3:11- Il reprit : Et qui t'a appris que tu étais nu ? Tu as donc mangé de l'arbre dont je t'avais défendu de manger ! 
Gn 3:12- L'homme répondit : C'est la femme que tu as mise auprès de moi qui m'a donné de l'arbre, et j'ai mangé ! 
Gn 3:13- Yahvé Dieu dit à la femme : Qu'as-tu fait là ? et la femme répondit : C'est le serpent qui m'a séduite, et j'ai mangé. 
Gn 3:14- Alors Yahvé Dieu dit au serpent : Parce que tu as fait cela, maudit sois-tu entre tous les bestiaux et toutes les bêtes sauvages. Tu marcheras sur ton ventre et tu mangeras de la terre tous les jours de ta vie.
Gn 3:15- Je mettrai une hostilité entre toi et la femme, entre ton lignage et le sien. Il t'écrasera la tête et tu l'atteindras au talon. 
Gn 3:16- A la femme, il dit : Je multiplierai les peines de tes grossesses, dans la peine tu enfanteras des fils. Ta convoitise te poussera vers ton mari et lui dominera sur toi. 
Gn 3:17- A l'homme, il dit : Parce que tu as écouté la voix de ta femme et que tu as mangé de l'arbre dont je t'avais interdit de manger, maudit soit le sol à cause de toi ! A force de peines tu en tireras subsistance tous les jours de ta vie.
Gn 3:18- Il produira pour toi épines et chardons et tu mangeras l'herbe des champs.
Gn 3:19- A la sueur de ton visage tu mangeras ton pain, jusqu'à ce que tu retournes au sol, puisque tu en fus tiré. Car tu es glaise et tu retourneras à la glaise. 
Gn 3:20- L'homme appela sa femme Eve, parce qu'elle fut la mère de tous les vivants. 
Gn 3:21- Yahvé Dieu fit à l'homme et à sa femme des tuniques de peau et les en vêtit. 
Gn 3:22- Puis Yahvé Dieu dit : Voilà que l'homme est devenu comme l'un de nous, pour connaître le bien et le mal ! Qu'il n'étende pas maintenant la main, ne cueille aussi de l'arbre de vie, n'en mange et ne vive pour toujours !