Yom Hakippourim (hébreu : יום הכיפורים « jour des propitiations ») est une fête juive célébrant le pardon accordé aux repentants pour leurs péchés au cours de l’année écoulée.
Fêté le dixième jour du mois de tishrei (qui correspond, selon les années, aux mois de septembre ou octobre dans le calendrier grégorien), il est considéré comme le jour le plus saint de l’année juive.
La Bible prescrit, outre un chômage complet, de s’y mortifier l’âme en observant principalement un jeûne de 25 heures (il s’agit aussi du seul jeûne à avoir préséance sur le chabbat ).
Yom Kippour est le jour de la repentance, considéré comme étant le jour le plus saint et le plus solennel de l’année juive . Son thème central est le pardon et la réconciliation.
Lev 16:30 -31 : les Sages ont déduit qu’il fallait respecter les interdictions du Shabbat (par exemple, ne pas travailler, ni allumer de feu, ne pas écrire ni toucher l’électricité).
L’abstention totale de nourriture et de boisson commence généralement une demi-heure avant le coucher de soleil (ce qui s’appelle « tossefet (ajout) Yom Kippour »), afin de limiter le risque de manger pendant la fête par inadvertance.
Elle termine après le coucher du soleil de la nuit suivante.
Bien que le jeûne soit obligatoire pour tout individu sain âgé de plus de 12 ans pour les femmes, 13 pour les hommes (bat ou bar mitsva ), y compris les femmes enceintes, il est interdit, en vertu du pikkouah nefesh , de jeûner pour toute personne qui pourrait s’en porter mal, particulièrement les diabétiques et les personnes devant prendre des médicaments. Les femmes qui viennent d’accoucher dans les trois derniers jours sont également exemptées.
L’abstention totale de nourriture et de boisson commence généralement une demi-heure avant le coucher de soleil (ce qui s’appelle « tossefet (ajout) Yom Kippour »), afin de limiter le risque de manger pendant la fête par inadvertance.
Elle termine après le coucher du soleil de la nuit suivante.
Bien que le jeûne soit obligatoire pour tout individu sain âgé de plus de 12 ans pour les femmes, 13 pour les hommes (bat ou bar mitsva ), y compris les femmes enceintes, il est interdit, en vertu du pikkouah nefesh , de jeûner pour toute personne qui pourrait s’en porter mal, particulièrement les diabétiques et les personnes devant prendre des médicaments. Les femmes qui viennent d’accoucher dans les trois derniers jours sont également exemptées.