Le vent était le souffle de Dieu et il régnait sur la terre et en nos coeurs comme pour nous pousser vers un nouveau monde.
Monde inconnu, monde recherché, monde désiré.
Oui inconnu, ce monde parce que recherché sans cesse et sans relâche dès que nous l'abordons, il semble s'éloigner comme pour nous dire "encore un petit effort, une souffle de plus, quelques pas encore et là notre désir de connaître ce monde nous pousse à l'effort.
La flamme vive brûlait nos lèvres pour effacer nos péchés, ceux de tous les jours par insouciance, par omission, par soustraction, par négligence et sa chaleur vive tel une braise ardente nous réchauffait le coeur, nous tournait vers la vérité vers cette vérité en toute plénitude.
Et tout à coup ce fut la lumière, celle pour nos yeux, certes, mais avant tout la lumière de Dieu la lumière de l'évangile, la lumière de la vérité, la lumière de l'amour, la lumière de la charité, la lumière de la longanimité.
Cette lumière brille, cultivons là pour ce temps afin qu'elle se propage à tous pour l'éternité.
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