A l'heure ou madame Bachelot ministre de la République tente de nous enseigner que la destruction de l'embryon humain mérite meilleur salaire que l'accouchement encourageons les médecins qui refusent cette pratique contraire au droit de la vie
Disons : L'interruption volontaire de grossesse:
le reniement de l'amour
Une fausse couche: un drame
Lc 1:39- En ces jours-là, Marie partit et se rendit en hâte vers la région montagneuse, dans une ville de Juda.
Lc 1:40- Elle entra chez Zacharie et salua Élisabeth.
Lc 1:41- Et il advint, dès qu'Élisabeth eut entendu la salutation de Marie, que l'enfant tressaillit dans son sein et Élisabeth fut remplie d'Esprit Saint.
Lc 1:42- Alors elle poussa un grand cri et dit : " Bénie es-tu entre les femmes, et béni le fruit de ton sein !
Lc 1:43- Et comment m'est-il donné que vienne à moi la mère de mon Seigneur ?
Lc 1:44- Car, vois-tu, dès l'instant où ta salutation a frappé mes oreilles, l'enfant a tressailli d'allégresse en mon sein
Lc 1:45- Oui, bienheureuse celle qui a cru en l'accomplissement de qui lui a été dit de la part du Seigneur ! "
Gn 2:7- Alors Yahvé Dieu modela l'homme avec la glaise du sol, il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l'homme devint un être vivant
Mais je sais tout de suite que certains crieront et le viol:
Selon L'Express du 10 novembre 2006, 4412 affaires de viol commis sur des personnes majeures , le problème de ces cas ne doit pas faire oubliés le crime contre la dignité de la femme.
Mais ma connaissance tous ces viols, abominables, crimes contre la dignité humaine, ne génèrent pas automatiquement des grossesses compte tenu de la fécondité de la femme cette possibilité de grossesse est de 1 sur 7
En France, 220 000 interruptions volontaires de grossesse sont pratiquées chaque année, soit un avortement pour trois naissances.
Les chiffres parlerons donc d'eux mêmes
Le meurtre des enfants subventionné par 3 Milliards d'Euros
L'avortement est un drame, un rejet de responsabilité, une ignorance des valeurs de la vie, l'avortement est la destruction pure et simple du plus faible, d'un enfant.
L'avortement s'apparente donc au yeux du créateur à un crime
La liberté de créer existe, les relations sexuelles sont faites de sentiments d'amour, détruire l'enfant ainsi, l'être généré par l'amour de deux personnes, c'est à la fois une fuite des responsabilités et se considérer comme des animaux irresponsables.
L'acte d'amour est un acte accompli par deux personnes, une femme et un homme, la responsabilité doit être assumer par ces deux même personnes
La femme est le tabernacle de la vie.
C'est en elle que la vie se crée, c'est en elle que la vie se développe, c'est en elle que l'amour de Dieu se répand.
Lorsque nous accomplissons l'acte de procréation nous devenons responsables du plus faible et nous devons nous engager à défendre ce que nous avons construit même dans l'insouciance.
Abandonner, retirer ce droit, la vie, à tout être créé, c'est s'abandonner soi-même, ne pas regarder la réalité de la création
L'avortement n'est pas une fatalité, aucune mère digne de ce nom ne désire vraiment détruire l'être qui grandit en elle, l'avortement est un crime de désespoir
"L'enfant tressaillit dans son sein"
Pour un Chrétien accepter l'avortement comme une fatalité et accepter le moindre avortement, c'est renier ce passage de l'évangile, c'est renier la visitation de Marie à Elizabeth
Que nous rappelle ce passage
Marie a reçu la visite de l'ange Gabriel qui lui a annoncé la venu d'un fils, elle se précipite chez sa cousine Elisabeth pour avoir la confirmation de cette visite
A la salutation de Marie à sa cousine Elisabeth, celui qui deviendra Jean le Baptiste tressaille dans son corps, il reconnaît le verbe qui va devenir lumière du monde et celui-ci oint celui qui sera son précurseur dans la vie et la mort sur cette terre.
La vie existe en l'une la vie existe en l'autre, c'est la première rencontre de deux êtres humain, la rencontre de ceux qui vont change le cours de l'humanité, l'histoire du monde s'inscrira désormais avec Jean Baptiste et Jésus.
A partir de quand la vie existe-elle
Et ne dites pas que les Religions sont en retard
.
Le savoir de Dieu est au delà de celui des hommes
qu'il a lui même créés
Il est déjà un homme celui qui doit le devenir
Dès le concile d'Elvire vers l'an 300 , l'Église catholique punit l’interruption de grossesse d'excommunication, quel que soit le stade de développement du fœtus
Toutefois, la question de savoir à quel moment le foetus doit être considéré comme entièrement humain (ce qui rend l'avortement condamnable au même titre qu'un meurtre) a été longuement débattue.
Il se convertit au christianisme à la fin du IIe siècle et devient la figure emblématique de la communauté chrétienne de Carthage
Théologien , père de l'Église , auteur prolifique, catéchumène , son influence sera grande dans l'Occident chrétien. Le Concile d'Elvire (Elvira est l'ancien nom de l'actuelle Grenade en Espagne)
Il traita de la vie interne de l'Église (célibat des clercs, etc.).
Au Concile de Vienne en 1312, « l'Église Catholique a exclu tout dualisme entre le corps et l’âme dans la nature humaine, niant ainsi la pré-existence de l’âme avant le corps; il faut les deux pour constituer un être humain, l’âme animant le corps.
Toutefois le Concile n’a pas précisé à quel stade du développement humain avait lieu cette union de l’âme et du corps.
Le Concile de Trente (1563), ne prend lui non plus pas partie quand à la date de l'animation du fœtus.
Cependant, l'avortement n'est pas condamné en tant que meurtre sur un être humain, mais à cause du respect dû à l'embryon dès sa conception, que sa nature entièrement humaine soit réalisée ou non.
En 1679, Innocent XI confirme que la condamnation de l'avortement est indépendante des controverses théologiques sur la date d'« animation » de l'âme. Ensuite, les différents papes reviendront à de nombreuses reprises sur ce sujet sensible
La bulle effraenantum de Sixte V en 1588 fait de tout avortement un crime méritant excommunication.
Elle fut annulée par son successeur Grégoire XIV trois ans plus tard en raison des abus provoqués par une application trop stricte de la sentence.
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